Aucun humain ne saurait supporter le poids de la Parole. Même Job, « homme intègre et droit, [qui] craignait Dieu et s’écartait du mal » (Job 1,1), n’interpella pas Dieu sans la méditation d’Élihu : « Vois, pour Dieu je suis ton égal ; d’argile j’ai été façonné, moi aussi. » (Job 33,6)
Et nous voudrions aller à Jésus en faisant l’économie de rencontrer Joseph ? Il est le silence qui sertit la Parole, le sage qui introduit la Sagesse.