Le Nouveau Testament confirme pleinement le souci écologique exprimé dans les Écritures juives. Souvenons-nous du regard contemplatif de Notre-Seigneur sur la nature, qui y puise l’inspiration de bon nombre de ses exemples et paraboles. Les lettres apostoliques poursuivent dans le même esprit et soulignent abondamment la dimension cosmique de la Rédemption. Aucun être, au ciel et sur la terre, n’est exclu de la grâce du salut (Col 1, 15-20 ; Eph 1, 7-10 ; Rm 8, 18-23) ; toute créature est appelée à participer à la nouvelle création (Ap 21, 1-5) – c’est-à-dire au renouvellement de la création par la grâce – chacune à son rang, afin que « Dieu soit tout en tous » (1 Co 15, 23-28).
Eugénisme, l'éternel retour
Eugénisme, l'éternel retour
Le père Joseph-Marie Verlinde présente son dernier ouvrage (le premier d'une trilogie), où il dévoile les racines...