On chercherait en vain dans les écrits sapientiaux une idée de domination de l’être humain sur la nature. Tout au contraire, nous y entendons un appel vigoureux adressé aux hommes pour qu’ils se mettent à l’école de la Sagesse créatrice, afin de pouvoir répondre à la mission que Dieu leur confie au cœur de cette nature qu’il aime.
Au terme de ce bref parcours dans l’Ancien Testament, il apparaît que l’anthropocentrisme qui prétend justifier certains abus dans le domaine écologique, ne se fonde pas dans les Écritures : pour la Révélation judéo-chrétienne, la création n’est pas anthropocentrique, mais théocentrique ; la finalité de la création n’est pas la gloire de l’homme, mais celle de Dieu seul.
Eugénisme, l'éternel retour
Eugénisme, l'éternel retour
Le père Joseph-Marie Verlinde présente son dernier ouvrage (le premier d'une trilogie), où il dévoile les racines...