Comment décrire cette journée, simple et familiale, où saint Joseph a eu une attention pour chacun d’entre nous ? Difficile. Je pourrais essayer de rapporter tous les mercis entendus en fin de journée. On pourrait avancer que vous êtes venus par centaines. Vous avez souligné la beauté de la liturgie et la profondeur spirituelle de l’homélie du père Joseph-Marie. J’ai entendu une dame s’émerveiller de voir les prêtres confesser dans les jardins. Il ne faudrait pas oublier la belle surprise de la présence d’enfants profitant de la grève des écoles pour venir sur la colline ! Mais tout cela rendrait-il compte de la joie d’être ensemble pour fêter saint Joseph ?
Le plus simple est de vous donner rendez-vous le premier mai ! Car nous qui avons vécu cette journée, nous n’avons qu’un désir : que le plus grand nombre connaisse cette joie.