Qui consulter?
Qui consulter?
Si je suis une personne qui désire vivement suivre les enseignements de l'Église mais que, dans le passé, j'ai eu recours à quelques consultations de cartomanciennes, si je lis quotidiennement mon horoscope, si j'ai eu, une ou deux fois, recours à de la magie blanche, si j'ai eu affaire avec un médium pour m'aider dans certains problèmes personnel et si j'ai aussi commencé (puis arrêté) d'étudier le Reikki, suis-je "à risque" d'avoir des séquelles quelconques? Si oui, comment m'en libérer puisque, en parlant avec un prêtre de plusieurs (pas tout) de ces actions, il n'y voit rien de grave? Dois-je consulter des prêtre jusqu'à ce que l'un d'eux partage votre opinion sur les phénomènes occultes? Si je ne trouve pas, à portée de la main (si on peut dire) un prêtre qui m'inspire assez confiance, puis-je m'en sortir seule (avec l'aide de Dieu évidemment)? Finalement, est-ce que, par ce genre de pratiques, disons, occasionnelles, je me suis "fait avoir" ou puis-je simplement tout laisser tomber? Je dois dire que je ne ressens pas de symptômes physiques, psychologiques, émotifs ou spirituels comme vous le mentionnez dans plusieurs documents.
Re: Qui consulter?
Il me semble dans votre cas que l’urgence est de revenir à Jésus-Christ, cherchant à mieux le connaître dans les Ecritures, à le rencontrer régulièrement dans la prière et les sacrements, bref : à l’accueillir pleinement dans votre vie comme l’unique Compagnon de route, pleinement digne de confiance, parce qu’il vous a prouvé son amour inconditionnel.
Mais bien sûr, pour avancer en vérité vers le Christ, il faut renoncer aux pratiques que vous énoncez, car on ne peut pas prétendre s’avancer vers la lumière tout en restant dans les ténèbres. Les pratiques occultes et le recours aux mancies trahissent en effet un manque de confiance – et donc de foi – en Jésus-Christ, Seigneur et Sauveur.
Il y a donc une rupture à consentir, comme signe de votre volonté de suivre Jésus ; puis vous découvrez chemin faisant que c’était effectivement le bon choix, et que cette rupture s’imposait.
Puisque vous n’avez pas de « symptômes » qui justifieraient une prière de délivrance, ne pensez plus aux liens que vous auriez éventuellement pu contracter : une bonne confession générale sur cette complicité avec le monde des ténèbres devrait suffire. Tant pis si le prêtre auprès duquel vous vous confessez prétend que tout cela n’est pas de l’ordre du péché : l’important est de recevoir l’absolution ; Dieu connaît le fond de votre cœur.
Mais bien sûr, pour avancer en vérité vers le Christ, il faut renoncer aux pratiques que vous énoncez, car on ne peut pas prétendre s’avancer vers la lumière tout en restant dans les ténèbres. Les pratiques occultes et le recours aux mancies trahissent en effet un manque de confiance – et donc de foi – en Jésus-Christ, Seigneur et Sauveur.
Il y a donc une rupture à consentir, comme signe de votre volonté de suivre Jésus ; puis vous découvrez chemin faisant que c’était effectivement le bon choix, et que cette rupture s’imposait.
Puisque vous n’avez pas de « symptômes » qui justifieraient une prière de délivrance, ne pensez plus aux liens que vous auriez éventuellement pu contracter : une bonne confession générale sur cette complicité avec le monde des ténèbres devrait suffire. Tant pis si le prêtre auprès duquel vous vous confessez prétend que tout cela n’est pas de l’ordre du péché : l’important est de recevoir l’absolution ; Dieu connaît le fond de votre cœur.