Bonjour
J'aimerais s'avoir quel condition l'eglise accepte l'annulation de mariage et pourquoi le divorce est refuse. Aussi est-ce que l'eglise va accepte le mariage homosexuel.
Merci
le mariage
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- Enregistré le : 5 sept. 2003
L’Eglise refuse le divorce lorsque les époux sont unis sacramentellement. Pour le chrétien cela veut dire qu’ils sont unis devant Dieu et devant les hommes. Jésus lui-même dit : « Ne séparez pas ce que Dieu a unis ! » (Mt 19, 6), et sur cette base, il refuse la répudiation.
L’Eglise est tout disposée à reconnaître la non-validité d’un mariage, lorsque les conditions exigées n’ont pas été remplies, et que dès lors les époux n’ont pas bénéficiés du sacrement. Celui-ci est alors déclaré nul, ou encore : l’Eglise constate la nullité d’un mariage. Elle ne l’annule pas (elle ne le pourrait pas !) mais confirme que les époux n’ont jamais été unis par le sacrement de mariage et sont donc libres de contracter une autre union, matrimoniale cette fois, la première ne l’étant pas.
Les principales conditions de validité sont :
- la liberté des conjoints au moment de contracter leur union ;
- l’intention de définitivité de leur engagement ;
- l’intention d’accueillir les enfants qui peuvent naître de leur union ;
- la maturité suffisante pour mesurer la responsabilité à laquelle engage le mariage.
L’Eglise s’est déjà prononcée à plusieurs reprises sur le fait qu’il lui est impossible d’accepter le mariage de deux personnes du même sexe, la troisième condition ne pouvant être remplie. Il faut savoir que les deux motifs principaux du mariage chrétien sont l’épanouissement des époux et la fécondité. Or ce second motif est exclu a priori dans le cas de deux conjoints du même sexe.
L’Eglise est tout disposée à reconnaître la non-validité d’un mariage, lorsque les conditions exigées n’ont pas été remplies, et que dès lors les époux n’ont pas bénéficiés du sacrement. Celui-ci est alors déclaré nul, ou encore : l’Eglise constate la nullité d’un mariage. Elle ne l’annule pas (elle ne le pourrait pas !) mais confirme que les époux n’ont jamais été unis par le sacrement de mariage et sont donc libres de contracter une autre union, matrimoniale cette fois, la première ne l’étant pas.
Les principales conditions de validité sont :
- la liberté des conjoints au moment de contracter leur union ;
- l’intention de définitivité de leur engagement ;
- l’intention d’accueillir les enfants qui peuvent naître de leur union ;
- la maturité suffisante pour mesurer la responsabilité à laquelle engage le mariage.
L’Eglise s’est déjà prononcée à plusieurs reprises sur le fait qu’il lui est impossible d’accepter le mariage de deux personnes du même sexe, la troisième condition ne pouvant être remplie. Il faut savoir que les deux motifs principaux du mariage chrétien sont l’épanouissement des époux et la fécondité. Or ce second motif est exclu a priori dans le cas de deux conjoints du même sexe.