Il a été diffusé ce matin en Angleterre une annonce issue du Vatican , proclamant que l'emploi d'un préservatif anticonceptionnel ne constitue pas une protection contre le SIDA.
J'avoue que ce message m'a énormement perturbée , et réalisant que ce fut annoncé hors contexte, j'aimerais en savoir plus, car il me semble très dangereux de diffuser de tels propos vu la pandémie de ce fléau.
Veuve et grand mère que la foi a soutenue toute sa vie, je ne suis pas portée a critiquer les décision de Rome, mais je trouve difficile d'accepter de telles annonces sans m'informer a ce sujet.
Je suis entourée de non catholiques..
Merci a l'avance
Annonce du Vatican a propos du Sida..
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- Enregistré le : 5 sept. 2003
Je ne suis pas au courant de cet incident, mais il n’est pas du tout dans les habitudes du Vatican de publier de tels avis hors d’un contexte précis.
D’autant plus que ce genre de prise de position avait déjà soulevé tout un tolet il y a quelques années, lorsque les médias avaient trouvé un malin plaisir à la présenter hors de son contexte. Le Saint Père invitait les jeunes à ne pas se contenter de demi-mesures, par ailleurs toujours faillibles – c’est ici qu’intervient la mise en garde par rapport aux préservatifs potentiellement défectueux – mais à s’avancer résolument sur le chemin de la maîtrise de soi afin d’accéder à une vie chaste, qui est la seule vraie protection contre cette terrible maladie.
D’autant plus que ce genre de prise de position avait déjà soulevé tout un tolet il y a quelques années, lorsque les médias avaient trouvé un malin plaisir à la présenter hors de son contexte. Le Saint Père invitait les jeunes à ne pas se contenter de demi-mesures, par ailleurs toujours faillibles – c’est ici qu’intervient la mise en garde par rapport aux préservatifs potentiellement défectueux – mais à s’avancer résolument sur le chemin de la maîtrise de soi afin d’accéder à une vie chaste, qui est la seule vraie protection contre cette terrible maladie.
Voici un communiqué qui a été publié à ce sujet :
http://infocatho.cef.fr/fichiers_html/a ... riquee.htm
http://infocatho.cef.fr/fichiers_html/a ... riquee.htm
lutter efficacement contre le Sida
Je pense que Dieu nous comprendra si, prenant la mesure de l'épidémie du Sida qui ne cesse de faire des victimes, nous pensons qu'il ne suffit pas de recommander l'abstinence.
Sur le plan de la morale et de la vertu, nous n'avons rien à dire contre la chasteté. Mais nous devons considérer qu'une telle épidémie échappe d'une part à la médecine et de l'autre à la morale.
Les recommandations du Pape, on ne peut l'ignorer, seront suivies par une très faible minorité de gens et pour de multiples raisons culturelles, ethniques, sociales, ne seront même pas entendues.
N'oublions pas que le Sida contamine des populations qui ne sont pas chrétiennes. Nous devons donc agir charitablement pour porter secours aux malades mais aussi pour prévenir l'extension de l'épidémie. Or il me parait raisonnable d'inciter les populations à risque de faire usage du préservatif, non parce que c'est bien moralement mais parce que c'est la seule façon, hors la chasteté , qui permette de sauver des vies. Je ne vois pas le tort que nous aurions du point de vue de la foi de vouloir sauver des vies. Sait-on qu'en Afrique on compte par millions les enfants orphelins du Sida? Quand il y a le feu dans une maison, on commence par appeler les pompiers. On fera de la morale après, quand le feu sera éteint. Jugulons l'épidémie, il sera temps de prêcher la vertu. Après tout, le bon sens me parait la meilleure voie à suivre. Elle est la seule raisonnable.
Sur le plan de la morale et de la vertu, nous n'avons rien à dire contre la chasteté. Mais nous devons considérer qu'une telle épidémie échappe d'une part à la médecine et de l'autre à la morale.
Les recommandations du Pape, on ne peut l'ignorer, seront suivies par une très faible minorité de gens et pour de multiples raisons culturelles, ethniques, sociales, ne seront même pas entendues.
N'oublions pas que le Sida contamine des populations qui ne sont pas chrétiennes. Nous devons donc agir charitablement pour porter secours aux malades mais aussi pour prévenir l'extension de l'épidémie. Or il me parait raisonnable d'inciter les populations à risque de faire usage du préservatif, non parce que c'est bien moralement mais parce que c'est la seule façon, hors la chasteté , qui permette de sauver des vies. Je ne vois pas le tort que nous aurions du point de vue de la foi de vouloir sauver des vies. Sait-on qu'en Afrique on compte par millions les enfants orphelins du Sida? Quand il y a le feu dans une maison, on commence par appeler les pompiers. On fera de la morale après, quand le feu sera éteint. Jugulons l'épidémie, il sera temps de prêcher la vertu. Après tout, le bon sens me parait la meilleure voie à suivre. Elle est la seule raisonnable.
préservatif
L'étude faite par le Dr. Ing. José Giralt Gonzalez dans le N° 9 de «Réussir votre Santé» mettait en doute la fiabilité des préservatifs. Cet article n'a reçu, à ce jour, aucun démenti. Mieux encore, cette étude corrobore celle faite par le Dr. Johanès Lelkens, professeur d'anesthésiologie à l'université de Maastricht.
Dire que le préservatif est utile dans la lutte contre la transmission du sida relève plus d'une pseudo-conviction que d'une certitude scientifique.
Assistera-t-on au procès du préservatif ?
Cela est peu probable. La raison est que si sa fiabilité n'est pas certaine, la transmission sexuelle (hétérosexuelle) n'est pas l'unique responsable de l'infection qui est multifactorielle. Des études font ressortir que si la population touchée est surtout homosexuelle, perfusée ou droguée, seuls 15% de l'ensemble des porteurs de virus du sida sont hétérosexuels (alors que les hétérosexuels représentent 94% de la population sexuellement active).
Aujourd'hui, si les homosexuels se reconnaissent comme tels, il est nettement plus difficile d'avouer son penchant pour les drogues dites «dures» prises par voie intraveineuse. (Ces études font abstraction des drogues dites «douces» et ne tiennent pas compte des autres dépendances à la cocaïne, au haschich, à l'alcool, aux médicaments...)
A un effet - quel qu ïl soit -, existe une ou plusieurs causes responsables.
Ce n'est qu'en les supprimant que l'on peut espérer faire disparaître la pathologie.
Dans le cas particulièrement dramatique du sida, qui frappe tant de jeunes femmes et de jeunes hommes, la science est, à l'heure actuelle, désarmée, voire impuissante.
Une surface pleine de trou.
Les préservatifs ne préservent rien. Une étude réalisée par un chercheur hollandais affirme qu'«ils recueillent un énorme succès dans la prévention des maladies sexuellement transmissibles, mais le pourcentage d'échecs est plus important qu'on ne le pensait jusqu'à présent.
Les prophylactiques réputés les plus sûrs ne sont pas exempts de trous, de fissures et autres orifices d'une taille nettement supérieure à celle des virus. Leur image, au microscope, les fait davantage ressembler à un paysage lunaire troué de cratères qu'à une surface parfaitement lisse et étanche. Si l'on tient compte du fait que le sida reste une maladie mortelle, la pratique de relations sexuelles, mêmes assorties «du petit bout de caoutchouc» s'apparente tout à fait «à la roulette russe, jouée avec neuf balles sur dix trous dans le barillet», affirme également cette étude. Selon le Dr. Johanès Lelkens, auteur de cette étude, quand on parle du virus du sida, dont la taille est 30 fois plus petite que la tête d'un spermatozoïde, le danger augmente notablement. Le virus HIV représente un minuscule disque de 0,1 micron de diamètre.
Actuellement, les tests électroniques de perméabilité des préservatifs sont capables de localiser des trous d'un diamètre variant entre 10 et 12 microns. En d'autres termes, des orifices au travers desquels 100 virus pourraient passer de front.
Qu'arrive-t-il aux trous plus petits ?
Les tests ne les localisent tout simplement pas. En 1990, les professeurs G.B. Davis et L.W Schorceder («Journal of Testing and Evaluation») ont réalisé des orifices de 1 micron de diamètre (dix fois la taille du virus HIV) dans des préservatifs qui avaient subi avec succès les tests de contrôle. 90 d'entre-eux ont alors obtenu le même résultat satisfaisant lors de leur deuxième passage, comme si les trous n'existaient pas. Une expérience semblable, dirigée par R.F. Carey
(«Sexually Transmitted Diseases», 1992) a débouché sur des conclusions similaires.
Mais il n'est même pas nécessaire de faire ces trous. Dans la plupart des cas, ils existent déjà. C'est en tout cas ce qu'a constaté C.M. Roland, du «Naval Research Laboratory» de Washington : «La surface des préservatifs laisse apparaître des cratères ayant un diamètre de 15 microns environ et une profondeur de
30 microns. Pire même, dans l'optique de la transmission du virus, nous avons découvert des canaux de 5 microns de diamètre qui traversaient la paroi de part en part».
En d'autres termes, cela signifie qu'il existe des passages qui établissent un lien de communication entre l'intérieur et l'extérieur du préservatif, et dont le diamètre est 50 fois supérieur à celui du virus HIV
Naturellement, la présence de trous par lesquels pourrait se faufiler le virus ne signifie pas nécessairement que cela arrive. La meilleure manière de vérifier le degré de sûreté qu'offrent réellement les préservatifs est une étude sur la fréquence de la transmission du virus chez les couples «HIV discordants», c'est-à-dire où l'un des deux est séropositif.
Les résultats de la seule étude de ce type réalisée jusqu'à présent ont montré que l'usage du préservatif ne réduisait que de 69 % le risque de contracter le virus (Susan C. Weller «A Meta-Analysis of Condom effectiveness in reducing sexually transmitted HIV», 1993). Cela signifie que dans 31 % des cas, il existe un danger réel de contamination par le virus du sida, ce qui correspond au total des erreurs constatées sur les préservatifs testés. Ce risque, qui est déjà élevé
par lui-même, augmente encore considérablement en cas de relations sexuelles différentes du coït vaginal, ou en cas de rapports multiples (European Study Group, 1989, publié dans le «British Médical Journal»)
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Sources
Réussir votre Santé d'avril 1995 n°11 (p.20)
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Dire que le préservatif est utile dans la lutte contre la transmission du sida relève plus d'une pseudo-conviction que d'une certitude scientifique.
Assistera-t-on au procès du préservatif ?
Cela est peu probable. La raison est que si sa fiabilité n'est pas certaine, la transmission sexuelle (hétérosexuelle) n'est pas l'unique responsable de l'infection qui est multifactorielle. Des études font ressortir que si la population touchée est surtout homosexuelle, perfusée ou droguée, seuls 15% de l'ensemble des porteurs de virus du sida sont hétérosexuels (alors que les hétérosexuels représentent 94% de la population sexuellement active).
Aujourd'hui, si les homosexuels se reconnaissent comme tels, il est nettement plus difficile d'avouer son penchant pour les drogues dites «dures» prises par voie intraveineuse. (Ces études font abstraction des drogues dites «douces» et ne tiennent pas compte des autres dépendances à la cocaïne, au haschich, à l'alcool, aux médicaments...)
A un effet - quel qu ïl soit -, existe une ou plusieurs causes responsables.
Ce n'est qu'en les supprimant que l'on peut espérer faire disparaître la pathologie.
Dans le cas particulièrement dramatique du sida, qui frappe tant de jeunes femmes et de jeunes hommes, la science est, à l'heure actuelle, désarmée, voire impuissante.
Une surface pleine de trou.
Les préservatifs ne préservent rien. Une étude réalisée par un chercheur hollandais affirme qu'«ils recueillent un énorme succès dans la prévention des maladies sexuellement transmissibles, mais le pourcentage d'échecs est plus important qu'on ne le pensait jusqu'à présent.
Les prophylactiques réputés les plus sûrs ne sont pas exempts de trous, de fissures et autres orifices d'une taille nettement supérieure à celle des virus. Leur image, au microscope, les fait davantage ressembler à un paysage lunaire troué de cratères qu'à une surface parfaitement lisse et étanche. Si l'on tient compte du fait que le sida reste une maladie mortelle, la pratique de relations sexuelles, mêmes assorties «du petit bout de caoutchouc» s'apparente tout à fait «à la roulette russe, jouée avec neuf balles sur dix trous dans le barillet», affirme également cette étude. Selon le Dr. Johanès Lelkens, auteur de cette étude, quand on parle du virus du sida, dont la taille est 30 fois plus petite que la tête d'un spermatozoïde, le danger augmente notablement. Le virus HIV représente un minuscule disque de 0,1 micron de diamètre.
Actuellement, les tests électroniques de perméabilité des préservatifs sont capables de localiser des trous d'un diamètre variant entre 10 et 12 microns. En d'autres termes, des orifices au travers desquels 100 virus pourraient passer de front.
Qu'arrive-t-il aux trous plus petits ?
Les tests ne les localisent tout simplement pas. En 1990, les professeurs G.B. Davis et L.W Schorceder («Journal of Testing and Evaluation») ont réalisé des orifices de 1 micron de diamètre (dix fois la taille du virus HIV) dans des préservatifs qui avaient subi avec succès les tests de contrôle. 90 d'entre-eux ont alors obtenu le même résultat satisfaisant lors de leur deuxième passage, comme si les trous n'existaient pas. Une expérience semblable, dirigée par R.F. Carey
(«Sexually Transmitted Diseases», 1992) a débouché sur des conclusions similaires.
Mais il n'est même pas nécessaire de faire ces trous. Dans la plupart des cas, ils existent déjà. C'est en tout cas ce qu'a constaté C.M. Roland, du «Naval Research Laboratory» de Washington : «La surface des préservatifs laisse apparaître des cratères ayant un diamètre de 15 microns environ et une profondeur de
30 microns. Pire même, dans l'optique de la transmission du virus, nous avons découvert des canaux de 5 microns de diamètre qui traversaient la paroi de part en part».
En d'autres termes, cela signifie qu'il existe des passages qui établissent un lien de communication entre l'intérieur et l'extérieur du préservatif, et dont le diamètre est 50 fois supérieur à celui du virus HIV
Naturellement, la présence de trous par lesquels pourrait se faufiler le virus ne signifie pas nécessairement que cela arrive. La meilleure manière de vérifier le degré de sûreté qu'offrent réellement les préservatifs est une étude sur la fréquence de la transmission du virus chez les couples «HIV discordants», c'est-à-dire où l'un des deux est séropositif.
Les résultats de la seule étude de ce type réalisée jusqu'à présent ont montré que l'usage du préservatif ne réduisait que de 69 % le risque de contracter le virus (Susan C. Weller «A Meta-Analysis of Condom effectiveness in reducing sexually transmitted HIV», 1993). Cela signifie que dans 31 % des cas, il existe un danger réel de contamination par le virus du sida, ce qui correspond au total des erreurs constatées sur les préservatifs testés. Ce risque, qui est déjà élevé
par lui-même, augmente encore considérablement en cas de relations sexuelles différentes du coït vaginal, ou en cas de rapports multiples (European Study Group, 1989, publié dans le «British Médical Journal»)
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Sources
Réussir votre Santé d'avril 1995 n°11 (p.20)
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Désinformation sur le sida
En effet, d'après la BBC, le Vatican met en cause l'éfficacité du présersatif, ce qui cause scandale.
En France, l'Académie Nationale de Médecine a fait paraître en 1996 une brocure intitulée"le sida, propagation et prévention". On y lit : " Tout gynécologue sait parfaitement par expérience professionnelle que l'usage régulier du préservatif n'empêche pas la naissance de beaux enfants. Le taux d'échec varie entee 5 à 12% par couple et par année d'utilisation.......On voit mal comment le VIH, 500 fois moins volumineux qu'un spermatozoïde bénéficierait d'un taux d'échec inférieur " Donc, en cas d'usage fréquent du préversatif pour cause de vagabondage sexuel, la contamination aura lieu. C'est ce qu'indique le cardinal Trujillo.
En France, l'Académie Nationale de Médecine a fait paraître en 1996 une brocure intitulée"le sida, propagation et prévention". On y lit : " Tout gynécologue sait parfaitement par expérience professionnelle que l'usage régulier du préservatif n'empêche pas la naissance de beaux enfants. Le taux d'échec varie entee 5 à 12% par couple et par année d'utilisation.......On voit mal comment le VIH, 500 fois moins volumineux qu'un spermatozoïde bénéficierait d'un taux d'échec inférieur " Donc, en cas d'usage fréquent du préversatif pour cause de vagabondage sexuel, la contamination aura lieu. C'est ce qu'indique le cardinal Trujillo.
Voici ce que disait Monseigneur Sgreccia, il y a quelque semaines, après la présentation du texte de Rome sur l’éducation sexuelle des enfants : " Mais qui donc publie les résultats les plus récents des recherches scientifiques internationales sur le préservatif et le sida dont les plus optimistes concluent à un taux d’échec de 16% et les plus pessimistes à un taux de d’échec de 30% " (Famille Chrétienne 942, 1-2-1996). L’important texte du Conseil Pontifical pour la Famille, du 8 décembre 1995 dit explicitement au numéro 139 : " Les parents doivent refuser la promotion de ce soi-disant " sexe sûr " ou " sexe plus sûr ", qui vient d’une politique dangereuse et immorale, basée sur l’illusion que le préservatif donne une protection adéquate contre le sida ". Rome n’a pas écrit cela à la légère mais après consultation des spécialistes en la matière. Le préservatif est donc, pour le Magistère ordinaire actuel, une imparfaite protection parce qu’il n’est pas fiable.
le préservatif et sa fiabilité
Juste dire ceci car je ne veux pas entrer dans cette polémique soi-disant scientifique:
L'air bag ne sauve pas les vies à 100% mais je suis heureux de savoir que j'ai une plus grande chance de ne pas mourir.
Si le préservatif sauve dix vies sur 100 c'est beaucoup mieux que rien.
Pourquoi ce morceau de caoutchouc déclenche-t-il tant de haine?
Demandons à un psychnalyste.
J'apprends que France 5 organise une grande émission contre le Sida. Je suppose que vous êtes contre.
Entre la vie et un cercueil je choisis le préservatif. Vous dites que ce n'est pas fiable à 100 pour cent? Il suffit que ça marche une fois pour moi. Pas vous?
L'air bag ne sauve pas les vies à 100% mais je suis heureux de savoir que j'ai une plus grande chance de ne pas mourir.
Si le préservatif sauve dix vies sur 100 c'est beaucoup mieux que rien.
Pourquoi ce morceau de caoutchouc déclenche-t-il tant de haine?
Demandons à un psychnalyste.
J'apprends que France 5 organise une grande émission contre le Sida. Je suppose que vous êtes contre.
Entre la vie et un cercueil je choisis le préservatif. Vous dites que ce n'est pas fiable à 100 pour cent? Il suffit que ça marche une fois pour moi. Pas vous?