Bonjour,
votre site me "parle", très interessant.
Je me permet d'y ajouter un peu de mon humble lumière..........
Bien cordialement
Petit essai d'alchimie mentale..............
..Le travail de "sa terre"…
Avant de semer les graines de nos idéaux les plus élevés, il convient tout d'abord de labourer le décor dans lequel elles pourront s'épanouir. Le travail consiste donc à enlever les mauvaises herbes et leurs racines. Surtout leurs racines. L'alchimie n'est pas une oeuvre de surface, mais bel et bien de profondeur. Aussi, si les racines restent en place, nous devrons continuellement perdre du temps à arracher les nouvelles pousses, ce qui, du reste, ne fera que retarder davantage la qualité des graines semées de par le fait même que l'énergie des unes sera annihilée par l'énergie des autres, retardant ainsi les résultats escomptés. Les mauvaises herbes, comme les orties par exemple, possèdent d'impressionnantes racines et s'adaptent facilement aux différentes variations du temps. Dans un premier temps, donc, nous devrons donc nous débarrasser des indésirables. Le terrain rendu propre et net par notre laborieuse énergie, nous tracerons les sillons, bien droits et allignés afin que l'humide s'infiltre correctement sans s'éparpiller dans n'importe quelle direction. Une mauvaise irrigation, en effet, peu faire arriver l'eau trop vite par endroits, et de fait, arracher la plante, ou bien laisser un vide au point de laisser sécher les pousses. L'humide doit être canalisé afin de respecter un certain équilibre, tout comme il conviendra de veiller à ce que les pousses nouvelles n'aient ni trop de chaleur ni trop de froid. Ce n'est qu'au bout de plusieurs années, alors que les graines seront devenues des arbres, que nous pourrons faire fi des mauvaises herbes poussant ça et là, à leur pied. C'est à ce niveau que nous serons récompensés, ou non, de notre labeur, en fonction de la qualité des fruits que nous récolterons.
Une attentive vigilance s'impose en notre oeuvre, notamment sur deux risques majeurs: l’assèchement du sensible par la raison, ou l'inondation de la raison par le sensible.
La sècheresse, issue d'un mental plus enclin au spéculatif qu'à l'opératif, ne nous donnera, s'ils arrivent encore à maturité, que des arbres sans fruits. Le mental se transforme ici en un vent difficile à maitriser. Tantôt violent, tantôt doux, il souffle sans discontinuer, asséchant, si nous n'y prenons garde, la moindre parcelle d'humidité. L’être devient ainsi un livre ambulant, froid et sec comme un bois mort, spéculant sans cesse sur un futur qu’il ne commencera jamais à construire.
Inondée, par une trop grande émotivité, la terre va se transformer en boue, puis en marécage, dans lequel vont croupir les eaux de nos larmes et de nos désespoirs. Les pousses, devenues peut être arbustes, vont pourrir sur place, et se transformer en une sorte de conglomérat nauséabond. Le mental se transforme ici en un torrent sans fin, qu’il serait si simple de canaliser vers telle ou telle direction. Mais l’être, s’illusionnant à vouloir stopper le courant au lieu d’en utiliser l’énergie, s’enferme ainsi dans la tour d’ivoire de son passé, qu’il regrette toujours sans jamais chercher à en utiliser l’expérience.
Pour grandir, les idéaux ont besoin d'un équilibre harmonieux entre le vicéral: l'émotion,(sel), le cardiaque: l'aspiration,(soufre) le mental: l'intellect(mercure).
[/i]
réflexion..........au jardin
...
J'espère que mes misérables réflexions ne vous blesseront pas :
A qui vous adressez vous, brave homme ?
Il est clair que vous êtes en quête de vérité,
Jean 14, 4:
Et du lieu où je vais, vous savez le chemin."
5 Thomas lui dit: "Seigneur, nous ne savons pas où tu vas. Comment saurions-nous le chemin?" 6 Jésus lui dit:
"Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie.
Nul ne vient au Père que par moi.
7 Si vous me connaissez, vous connaîtrez aussi mon Père;
dès à présent vous le connaissez et vous l'avez vu."
et que dans cette alchimie que vous nous énoncez semble être un travail sur l'être humain.
Aussi, vous êtes très imprégné du vocabulaire biblique mais il semble que le vrai sens vous en échappe. C'est comme si les paroles du Christ étaient dans votre bouche, mais que vous ne croyiez pas celui qui les prononcent et les expliquent.
Trois références bibliques évidentes dans votre texte mais toutes déformées. Ces paraboles ont été expliquées par celui même qui les a prononcées. La parole du Christ est vivante, c'est pour cela qu'elle vous parle.
Et c'est ce Christ Ressucité, le Jésus crucifié qui l'enseigne intérieurement sur le plan de l'intellect mais surtout en se manifestant par un Amour indescriptible dans le coeur de celui qui la médite avec Lui.
Demandez lui de comprendre et vous verrez que cette dimension amoureuse de la révélation est l'authentique preuve de la Vérité que je vous énonce aujourd'hui.
Ne passez pas à côté de cette relation à Celui qui est le Vrai Semeur des graines de sa Parole et nous en moissonerons pour notre plus grande joie les bons fruits qui en résulterons quand nous vivrons de sa Vie Divine offerte en partage à ceux qui l'aiment :
Jean 4,34 :
"Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m'a envoyé
et de mener son oeuvre à bonne fin.
35 Ne dites-vous pas:
Encore quatre mois et vient la moisson?
Eh bien! je vous dis:
Levez les yeux et regardez les champs,
ils sont blancs pour la moisson.
36 Déjà le moissonneur reçoit son salaire
et récolte du fruit pour la vie éternelle,
en sorte que le semeur se réjouit avec le moissonneur.
37 Car ici se vérifie le dicton:
autre est le semeur, autre le moissonneur:
38 je vous ai envoyés moissonner
là où vous ne vous êtes pas fatigués;
d'autres se sont fatigués
et vous, vous héritez de leurs fatigues."
Le sel de la terre ce n'est pas l'émotion, ce sera vous, Monsieur, qui transmettrez au monde l'espérance d'une vie glorieuse, celle de Celui qui est la source de tout amour :
Matthieu 5, 13 :
"Vous êtes le sel de la terre. Mais si le sel vient à s'affadir, avec quoi le salera-t-on? Il n'est plus bon à rien qu'à être jeté dehors et foulé aux pieds par les gens. 14 "Vous êtes la lumière du monde. Une ville ne se peut cacher, qui est sise au sommet d'un mont. 15 Et l'on n'allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau, mais bien sur le lampadaire, où elle brille pour tous ceux qui sont dans la maison. 16 Ainsi votre lumière doit-elle briller devant les hommes afin qu'ils voient vos bonnes oeuvres et glorifient votre Père qui est dans les cieux.
Psaume 1:
Heureux l'homme qui ne suit pas le conseil des impies,
ni dans la voie des égarés ne s'arrête,
ni au siège des rieurs ne s'assied,
2 mais se plaît dans la loi de Yahvé,
mais murmure sa loi jour et nuit!
3 [b]Il est comme un arbre planté auprès des cours d'eau;
celui-là portera fruit en son temps
et jamais son feuillage ne sèche; tout ce qu'il fait réussit:
4 rien de tel pour les impies, rien de tel!
Mais ils sont comme la bale qu'emporte le vent.
5 Ainsi, les impies ne tiendront pas au Jugement,
ni les égarés, à l'assemblée des justes.
6 Car Yahvé connaît la voie des justes,
mais la voie des impies se perd.[/b]
J'espère que ce n'est pas trop obscur pour vous ni blessant.
Un frère qui vous aime et qui vous retrouvera dans le coeur du Dieu Amour.
Gabriel
J'espère que mes misérables réflexions ne vous blesseront pas :
A qui vous adressez vous, brave homme ?
Il est clair que vous êtes en quête de vérité,
Jean 14, 4:
Et du lieu où je vais, vous savez le chemin."
5 Thomas lui dit: "Seigneur, nous ne savons pas où tu vas. Comment saurions-nous le chemin?" 6 Jésus lui dit:
"Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie.
Nul ne vient au Père que par moi.
7 Si vous me connaissez, vous connaîtrez aussi mon Père;
dès à présent vous le connaissez et vous l'avez vu."
et que dans cette alchimie que vous nous énoncez semble être un travail sur l'être humain.
Aussi, vous êtes très imprégné du vocabulaire biblique mais il semble que le vrai sens vous en échappe. C'est comme si les paroles du Christ étaient dans votre bouche, mais que vous ne croyiez pas celui qui les prononcent et les expliquent.
Trois références bibliques évidentes dans votre texte mais toutes déformées. Ces paraboles ont été expliquées par celui même qui les a prononcées. La parole du Christ est vivante, c'est pour cela qu'elle vous parle.
Et c'est ce Christ Ressucité, le Jésus crucifié qui l'enseigne intérieurement sur le plan de l'intellect mais surtout en se manifestant par un Amour indescriptible dans le coeur de celui qui la médite avec Lui.
Demandez lui de comprendre et vous verrez que cette dimension amoureuse de la révélation est l'authentique preuve de la Vérité que je vous énonce aujourd'hui.
Ne passez pas à côté de cette relation à Celui qui est le Vrai Semeur des graines de sa Parole et nous en moissonerons pour notre plus grande joie les bons fruits qui en résulterons quand nous vivrons de sa Vie Divine offerte en partage à ceux qui l'aiment :
Jean 4,34 :
"Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m'a envoyé
et de mener son oeuvre à bonne fin.
35 Ne dites-vous pas:
Encore quatre mois et vient la moisson?
Eh bien! je vous dis:
Levez les yeux et regardez les champs,
ils sont blancs pour la moisson.
36 Déjà le moissonneur reçoit son salaire
et récolte du fruit pour la vie éternelle,
en sorte que le semeur se réjouit avec le moissonneur.
37 Car ici se vérifie le dicton:
autre est le semeur, autre le moissonneur:
38 je vous ai envoyés moissonner
là où vous ne vous êtes pas fatigués;
d'autres se sont fatigués
et vous, vous héritez de leurs fatigues."
Le sel de la terre ce n'est pas l'émotion, ce sera vous, Monsieur, qui transmettrez au monde l'espérance d'une vie glorieuse, celle de Celui qui est la source de tout amour :
Matthieu 5, 13 :
"Vous êtes le sel de la terre. Mais si le sel vient à s'affadir, avec quoi le salera-t-on? Il n'est plus bon à rien qu'à être jeté dehors et foulé aux pieds par les gens. 14 "Vous êtes la lumière du monde. Une ville ne se peut cacher, qui est sise au sommet d'un mont. 15 Et l'on n'allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau, mais bien sur le lampadaire, où elle brille pour tous ceux qui sont dans la maison. 16 Ainsi votre lumière doit-elle briller devant les hommes afin qu'ils voient vos bonnes oeuvres et glorifient votre Père qui est dans les cieux.
Psaume 1:
Heureux l'homme qui ne suit pas le conseil des impies,
ni dans la voie des égarés ne s'arrête,
ni au siège des rieurs ne s'assied,
2 mais se plaît dans la loi de Yahvé,
mais murmure sa loi jour et nuit!
3 [b]Il est comme un arbre planté auprès des cours d'eau;
celui-là portera fruit en son temps
et jamais son feuillage ne sèche; tout ce qu'il fait réussit:
4 rien de tel pour les impies, rien de tel!
Mais ils sont comme la bale qu'emporte le vent.
5 Ainsi, les impies ne tiendront pas au Jugement,
ni les égarés, à l'assemblée des justes.
6 Car Yahvé connaît la voie des justes,
mais la voie des impies se perd.[/b]
J'espère que ce n'est pas trop obscur pour vous ni blessant.
Un frère qui vous aime et qui vous retrouvera dans le coeur du Dieu Amour.
Gabriel
réponse à gabriel
Bonsoir,
Monsieur, hum, ça fait conventionnel tout celà. Préférons ami, quoique j'apprécie d'avantage "frère" à la fin de votre texte.
Blessé? Pourquoi? Je pense que "travailler sur sa nature" demande au préalable la mise de côté de son amour-propre.
Il m'arrive en effet, quelque soit le travail que j'effectue, au jardin par exemple, en bricolant ou, simplement, dans celui de tous les jours, et bien de réfléchir, d'observer surtout. Le second trouve souvent sa réponse dans le premier: explication.
Ma profession est celle d'employé de banque. C'est donc un contact permanent avec le public. Parfois, d'ailleurs, il m'arrive de me demander si je suis bien normal car, je n'aime pas recevoir les gens comme si c'était des machines à consommer, des "clients" à qui l'on dit bonjour/aurevoir par simple politesse. Non! En observant l'autre, les autres, il ressort une chose essentielle: c'est qu'en fait nous sommes tous liés par quelque chose d'indéterminé, invisible dirais-je d'une manière impropre, où plutôt............ lorsque je m'adresse à un client je ne m'adresse pas seulement à un être de chair, mais à une âme, plus proprement, un frère humain. Par l'observation, en outre, on apprend beaucoup de choses, ainsi, avec de l'entrainement nous pouvons percevoir si une personne souffre, si elle est malade, si au contraire elle vie dans le bonheur. Le dialogue et l'approche seront différent. C'est ainsi, à mon avis, que nous pouvons nous améliorer nous mêmes dans la Lumière de la vérité: en étant "dans l'autre" "avec l'autre" "pour l'autre".
Vient en suite le travail au jardin où le mental, là, n'est plus sollicité. Moment sublime où le corps physique est à l'oeuvre, et où, de cette oeuvre, surgit l'inspiration dans le mental vide de toutes contraintes.
Trois références bibiliques? Me dites vous. Pure coincidence vu que je ne suis pas un étudiant assidu des textes sacrés. Aussi ne pourrais je faire le lien puisque je ne les connais pas. Par contre, ce que je puis dire en mon humble compréhension, c'est que lorsque je plante la pioche dans la terre je fais le vide dans ma tête comme je fais le vide aussi lorsqu'il m'arrive d'aller voir un lever de soleil, les étoiles dans le ciel, ou plus simplement, me promener seul en forêt................il me plait de contempler, tout simplement, contempler. Il est toutefois pas évident, vous en conviendrez, d'etre employé de banque et contemplatif, mais bon, on fait avec...!
Vous me dites ..
.."C'est comme si les paroles du Christ étaient dans votre bouche, mais que vous ne croyiez pas celui qui les prononcent et les expliquent. "............
..........c'est pourquoi l'inspiration reçue et transmise ensuite sur le papier "électronique" est avant tout une leçon que je pense devoir appliquer à moi même. Maintenant, si je n'y croyais pas, il est évident que, d'une part, je n'y aurais pas prété attention, et d'autre part, je ne l'aurais même pas écrite...............et diffusé aussi sur d'autres sites, non par orgueil, mais parceque, quelque part, j'éprouve le besoin d'écrire non pas pour moi seulement, mais surtout pour les autres, afin de partager.............un peu de lumière aussi infime soi t elle.
Voici quelques années, un ami et frère en spiritualité, aujourd'hui de l'autre côté du miroir, me confia : "tu sais, un jour il faudrait que tu écrives un livre". C'était sa vision. La mienne.........m'inspirer en travaillant, écrire, et partager............méditer et prier, surtout!
bien amicalement.............entre le coeur et la plume.
Monsieur, hum, ça fait conventionnel tout celà. Préférons ami, quoique j'apprécie d'avantage "frère" à la fin de votre texte.
Blessé? Pourquoi? Je pense que "travailler sur sa nature" demande au préalable la mise de côté de son amour-propre.
Il m'arrive en effet, quelque soit le travail que j'effectue, au jardin par exemple, en bricolant ou, simplement, dans celui de tous les jours, et bien de réfléchir, d'observer surtout. Le second trouve souvent sa réponse dans le premier: explication.
Ma profession est celle d'employé de banque. C'est donc un contact permanent avec le public. Parfois, d'ailleurs, il m'arrive de me demander si je suis bien normal car, je n'aime pas recevoir les gens comme si c'était des machines à consommer, des "clients" à qui l'on dit bonjour/aurevoir par simple politesse. Non! En observant l'autre, les autres, il ressort une chose essentielle: c'est qu'en fait nous sommes tous liés par quelque chose d'indéterminé, invisible dirais-je d'une manière impropre, où plutôt............ lorsque je m'adresse à un client je ne m'adresse pas seulement à un être de chair, mais à une âme, plus proprement, un frère humain. Par l'observation, en outre, on apprend beaucoup de choses, ainsi, avec de l'entrainement nous pouvons percevoir si une personne souffre, si elle est malade, si au contraire elle vie dans le bonheur. Le dialogue et l'approche seront différent. C'est ainsi, à mon avis, que nous pouvons nous améliorer nous mêmes dans la Lumière de la vérité: en étant "dans l'autre" "avec l'autre" "pour l'autre".
Vient en suite le travail au jardin où le mental, là, n'est plus sollicité. Moment sublime où le corps physique est à l'oeuvre, et où, de cette oeuvre, surgit l'inspiration dans le mental vide de toutes contraintes.
Trois références bibiliques? Me dites vous. Pure coincidence vu que je ne suis pas un étudiant assidu des textes sacrés. Aussi ne pourrais je faire le lien puisque je ne les connais pas. Par contre, ce que je puis dire en mon humble compréhension, c'est que lorsque je plante la pioche dans la terre je fais le vide dans ma tête comme je fais le vide aussi lorsqu'il m'arrive d'aller voir un lever de soleil, les étoiles dans le ciel, ou plus simplement, me promener seul en forêt................il me plait de contempler, tout simplement, contempler. Il est toutefois pas évident, vous en conviendrez, d'etre employé de banque et contemplatif, mais bon, on fait avec...!
Vous me dites ..
.."C'est comme si les paroles du Christ étaient dans votre bouche, mais que vous ne croyiez pas celui qui les prononcent et les expliquent. "............
..........c'est pourquoi l'inspiration reçue et transmise ensuite sur le papier "électronique" est avant tout une leçon que je pense devoir appliquer à moi même. Maintenant, si je n'y croyais pas, il est évident que, d'une part, je n'y aurais pas prété attention, et d'autre part, je ne l'aurais même pas écrite...............et diffusé aussi sur d'autres sites, non par orgueil, mais parceque, quelque part, j'éprouve le besoin d'écrire non pas pour moi seulement, mais surtout pour les autres, afin de partager.............un peu de lumière aussi infime soi t elle.
Voici quelques années, un ami et frère en spiritualité, aujourd'hui de l'autre côté du miroir, me confia : "tu sais, un jour il faudrait que tu écrives un livre". C'était sa vision. La mienne.........m'inspirer en travaillant, écrire, et partager............méditer et prier, surtout!
bien amicalement.............entre le coeur et la plume.