Bonjour Père Verlinde,
que penser de la prise du pouls (normal et non chinois) en tant que diagnostic et recherche de remède approprié?
Exemple: un thérapeuthe prend le pouls du patient d'une main et de l'autre parcourt les différents organes de son corps (ou une planche anatomique) pour détecter l'organe défaillant . Il peut de même choisir le remède à partir d'une liste de remèdes (allant de la phyto aux fleurs de Bach) qu'il balaie avec son doigt tout en gardant contact avec le pouls du patient.
La réponse du pouls du patient concerne-t-elle le corps physique ou peut-elle venir du corps astral?
Merci pour ce forum riche d'informations et de mises en garde indispensables!
Et merci pour votre réponse.
Emmanuelle
pouls
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P. Joseph-Marie
- Messages : 1010
- Enregistré le : lun. 29 sept. 2003 13:16
Vous touchez un sujet très délicat ! A priori je n’ai pas de raison de douter que l’on puisse, avec un peu d’expérience, ressentir différents pouls et en tirer des conclusions sur l’état général du malade.
Seulement il y a quelques années, certaines expériences que nous menions dans notre groupe de recherche, m’ont laissé perplexe. La pensée du médecin induisait des transformations du pouls que le dit médecin était en train de prendre.
Ou bien la prise du pouls est quelque chose de tellement subtil, que le diagnostic en perd toute objectivité dès que le médecin est émotionnellement impliqué dans son travail ; ou alors il faudrait penser que c’est la réflexion du médecin qui influence directement le malade, le pouls reflétant la transformation !!! Je préfère ne pas donner crédit à une guérison immédiate par la seule pensée du toubib, cela se saurait ; reste la première solution.
Pour ce qui est du tube contenant le médicament que l’on pose sur le corps, et auquel le corps réagit, il est évident que ce n’est pas une réaction physique puisque le tube est fermé : il n’y a ni déglutition du produit, ni contact avec la peau, ni inhalation. On pourrait cependant argumenter que c’est le corps subtil qui réagit immédiatement à la radiation subtile du produit et que cette réaction est détectable au pouls. Pourquoi pas ?
Mais dans le cas que vous décrivez, où le médecin suit du doigt sur une carte les différents organes, tout en prenant le pouls (et même pas le pouls chinois !), je crains fort que nous soyons dans une situation de diagnostic par médiumnité. On peut faire la même chose avec un pendule au lieu du pouls. C’est la concentration du médecin sur le corps du patient qui opère la sélection de l’organe exploré. La planche ne sert qu’à favoriser la concentration. Donc le médecin est en fusion avec les corps subtils du patient, et détermine par voie médiumnique – à l’aide du pouls comme support – quel organe est déficient. Comprenez moi bien : le patient ne sait pas à quel organe le médecin pense. Pourtant son pouls varierait en fonction de l’exploration purement mentale du médecin par carte interposée ? Où est l’objectivité de ce diagnostic ? Nous sommes 100% dans le dialogue occulte entre deux corps en fusion énergétique : le médecin explore les corps subtils du patient avec lequel il s’est mis en fusion.
Est-ce répréhensible ? Allez donc savoir ! Dès que nous manipulons dans l’occulte, par définition nous ne savons pratiquement plus rien, si ce n’est ce que nous percevons tant bien que mal au moyen de nos pauvres moyens de détection (dont le pouls). Et nous ne pouvons pas oublier que selon l’avis des magiciens, aucun pouvoir occulte ne peut s’exercer sans la complicité des entités du plan sollicité.
Seulement il y a quelques années, certaines expériences que nous menions dans notre groupe de recherche, m’ont laissé perplexe. La pensée du médecin induisait des transformations du pouls que le dit médecin était en train de prendre.
Ou bien la prise du pouls est quelque chose de tellement subtil, que le diagnostic en perd toute objectivité dès que le médecin est émotionnellement impliqué dans son travail ; ou alors il faudrait penser que c’est la réflexion du médecin qui influence directement le malade, le pouls reflétant la transformation !!! Je préfère ne pas donner crédit à une guérison immédiate par la seule pensée du toubib, cela se saurait ; reste la première solution.
Pour ce qui est du tube contenant le médicament que l’on pose sur le corps, et auquel le corps réagit, il est évident que ce n’est pas une réaction physique puisque le tube est fermé : il n’y a ni déglutition du produit, ni contact avec la peau, ni inhalation. On pourrait cependant argumenter que c’est le corps subtil qui réagit immédiatement à la radiation subtile du produit et que cette réaction est détectable au pouls. Pourquoi pas ?
Mais dans le cas que vous décrivez, où le médecin suit du doigt sur une carte les différents organes, tout en prenant le pouls (et même pas le pouls chinois !), je crains fort que nous soyons dans une situation de diagnostic par médiumnité. On peut faire la même chose avec un pendule au lieu du pouls. C’est la concentration du médecin sur le corps du patient qui opère la sélection de l’organe exploré. La planche ne sert qu’à favoriser la concentration. Donc le médecin est en fusion avec les corps subtils du patient, et détermine par voie médiumnique – à l’aide du pouls comme support – quel organe est déficient. Comprenez moi bien : le patient ne sait pas à quel organe le médecin pense. Pourtant son pouls varierait en fonction de l’exploration purement mentale du médecin par carte interposée ? Où est l’objectivité de ce diagnostic ? Nous sommes 100% dans le dialogue occulte entre deux corps en fusion énergétique : le médecin explore les corps subtils du patient avec lequel il s’est mis en fusion.
Est-ce répréhensible ? Allez donc savoir ! Dès que nous manipulons dans l’occulte, par définition nous ne savons pratiquement plus rien, si ce n’est ce que nous percevons tant bien que mal au moyen de nos pauvres moyens de détection (dont le pouls). Et nous ne pouvons pas oublier que selon l’avis des magiciens, aucun pouvoir occulte ne peut s’exercer sans la complicité des entités du plan sollicité.
